Fiche Alrick Stark

Alrick possède une faculté destructrice sans commune mesure. En effet, il est capable d’invoquer deux énormes serpents aux dents aussi acérées que des dagues en acier trempées et possédant une vitesse de mouvement très rapide. De par leurs caractéristiques, leurs longs corps peut servir de fouet ou de « tentacules » et donc peut très bien servir en tant qu’armes contendantes. Ce pouvoir permet aussi au parrain de se défendre puisqu’en effet pour un laps de temps d’une durée de cinq secondes, les serpents sont capables de manger l’espace présent juste devant eux, permettant alors de servir de bouclier implacable.

Alrick prend la peine de toujours s’habiller de manière élégante, possédant une veste de smoking, un gilet allant avec la veste, une chemise blanche et une cravate. Il portera cependant bien souvent un Jean et des chaussures de soirée pour garder  son élégance mais aussi une liberté de mouvement plus optimale. Par ailleurs sa carrure est plutôt athlétique, Alrick est physiquement plutôt grand du haut de son mètre 85, mais il possède de bonnes tablettes de chocolats et des bras tout aussi taillés mais sans aller dans la montagne de muscle. Il possède en revanche des cheveux noirs mi-long et des yeux d’un jaune perçant à la limite de la dorure. Cependant, l’un de ses yeux est couvert par un cache-œil.

Alrick est un homme très calme, généralement pragmatique et réfléchi. Il est en revanche extrêmement borné et croit dur comme fer à ses idéaux n’abandonnant jamais ces derniers. Pour rester dans l’esprit « protecteur » Alrick est une personne très attaché à ses proches et encore plus à ceux qu’il considère comme sa famille ou ses meilleurs amis, il ne les laissera jamais tomber et sera toujours prêt à lâcher des larmes pour eux. Cependant, il n’est pas « tout gentil et tout mignon » oh non, Alrick ne supporte pas la trahison et les mensonges et se montrera sans pitié envers ceux qui les commettent surtout à son égard et encore plus au cœur même de sa famille. Il prend les interêts des descendants très a Coeur et se montrera alors intransigeant avec tous ceux qui se dresseront entre sa famille et les objectifs de celle-ci. Même s’il sait que les choix qu’il prend peuvent être moralement discutable, il n’hésite pas à les prendre si cela sert les intérêts de sa cause, pour lui il n’y a jamais de petits profits et il faut parfois faire des choix douloureux pour la survie de leurs espèces. Il se montrera rarement sadique, sauf avec ceux qui ont ouvertement fait du mal aux siens, et il voue une haine profonde à l’organisation dénommé « PURE » pour qui il n’aura jamais de pitié. Il ne se montre jamais en colère mais s’il le fait un jour, il vaudra mieux fuir loin de son champ de vision.

“Vous savez.. quand on est enfant, on a souvent peur de l’obscurité, on ne veut pas dormir le soir, on veut rester avec papa et maman… et souvent les parents vont nous rassurer, ils vont nous dire que tout ira bien, que les monstres n’existent pas, qu’il n’y a qu’une pile de vêtements et de jouets au fond de ce placard… Mais pourtant… c’est faux. Les monstres existent… sauf qu’ils ne sont pas dans un placard… »

J’ai grandi à détroit, dans une petite famille modeste, oh..on ne gagnait pas beaucoup d’argent, mais suffisamment pour pouvoir vivre convenablement dans un petit pavillon tranquille. Cependant, la tranquillité elle ne dure jamais… Une nuit, je n’arrivais pas à dormir, je devais alors être à peine âgée de 8 ans, j’étais en sueur, j’entendais ces voix dans ma tête, des voix stridentes, des voix profondes qui m’appelaient… Je me rappelle, j’étais effrayer, angoissé, stresser… puis d’un seul coup je me suis réveiller en sursaut en criant, appelant mes parents de toutes mes forces, je me suis mis à pleurer… cette nuit resta gravé dans ma mémoire.

-MAMAN !

Ma mère déboula à toute vitesse, elle m’embrassa sur le front et me pris dans ses bras.

-Mon chéri… je suis la, tout va bien…
-Le monstre…il…il…il m’appelle…j’ai peur…il va me faire du mal maman !
-Non mon chéri…il ne te fera rien, je ferai fuir ce vilain monstre pour te protéger mon cœur…

Mon père arriva à son tour.

-Al’! Les monstres  n’existent pas ! Tu n’es plus un bébé mon fils, il est temps que tu grandisses un peu !
-Mais papa… je te jure qu’il est réel ! Il existe… il-..
-Tu me contredis en plus ?! Tiens prend sa petit insolent !

Mon père me mit une claque, je fondais en larme et cela l’énervait encore plus, ma mère le pris à part et ils quittèrent ma chambre, je les avais entendu se disputer toute la nuit, j’entendais mon père qui parlais de m’emmener chez un psy’… comme si un putain de docteur pouvait m’aider…

Plus le temps passait et plus je me renfermais, à l’école j’étais toujours dans mon coin, calme, tranquille, j’étais souvent le premier de ma classe mais je n’avais pas beaucoup d’amis pour ainsi dire… pas du tout. Je passais alors le plus clair de mon temps à bouquiner durant les récréations et même là, j’arrivais à me faire des ennemis…
Vous connaissez ce moment einh ? Celui ou la petite brute de l’école venait pour jouer les gros bras face à la grosse tête.

-Alors Stark tu lit quoi ? Et hop !

Il me pris le livre des mains.

-Rend moi sa Dylan… !
-Ou sinon quoi ? Tu vas me faire quoi avec tes petits bras einh le premier de la classe ?

Il se mit à rire et à me pousser avec le jambon qui lui servait de main.

-Harry potter ? Mais quel naze ! Même tes livres sont ringards ! Ce livre est plus ancien que ma grand-mère ! Voilà ce que j’en fait de ton harry potter ! Aller répare le, le sorcier !

Il se mit à rire grassement et à le déchirer devant moi tandis que ses potes se marraient comme des mulets à côté.

-T’es vraiment qu’un débile ! T’as vraiment que sa a faire de déchirer des livres ? C’est sans doute pour ça que tu finiras à récurer la merde des toilettes publiques pendant que « les grosses têtes » se foutront de ta gueule dans leurs bagnoles de luxe !

Je sais… je n’avais pas avalé ma langue et cela l’énerva plutôt bien.

-Attend…de quoi… ? T’as dit quoi là le merdeux ? Je vais te la faire bouffer moi la merde tu vas voir !

Sans plus tarder il me pris par les cheveux et il m’emmena à l’abris des regards, dans les chiottes, la il commença à me pousser contre le mur et a me tabasser, il me donnait des grands coups de poing au visage, aux ventre et une fois sur le sol il me mitraillait de coup de pied en riant. Ma souffrance lui faisait beaucoup rire… on aurait pu penser que…ce n’était que les débilités d’un gamin, mais a bien y réfléchir… non. Cette souffrance faisait rire aussi mon père, le plaisir à faire mal était-il ancré dans l’être humain ? Ce sourire mesquin était-il le vrai visage de l’homme ? C’est à ce moment que quelque chose se passa… la lumière s’était éteinte dans les toilettes, cet idiot de Dylan s’était reculé en disant à ses larbins de la rallumer. Mais des bruits se faisait entendre dans le noir, des bruits terrifiants qui rappelait ceux d’une bête affamée… Deux yeux jaunes se faisaient voir dans l’obscurité, et ces cris assourdissant, quand la lumière était revenue ils l’ont vue… cette bête cachée au fond de moi qui surgissait de mon corps et qui leurs hurlait dessus s’apprêtant à les dévorer.

Spoiler:

A ce moment, ils hurlèrent de peur, et s’enfuyaient à toute hâte. Mais moi j’étais trop jeune, je ne comprenais pas ce qu’il se passait, le soir j’étais rentré, blessé ce qui avait alarmé mes parents et une rencontre avec mon proviseur était inéluctable, la situation fut expliqué et ils ont raconté les dires des brutes qui m’avaient tabassés. Ils ont employait un terme que je ne comprenais pas, « descendant ». A partir de ce jour le regard de mes parents changèrent, mon père était distant, je voyais dans ces yeux qu’il avait peur de moi, qu’il voulait que je m’en aille loin, et ma mère… même si elle faisait tout pour paraître aussi gentille qu’avant, je voyais dans son regard qu’elle avait peur.

Me voilà qui me renfermaient encore un peu plus. Deux ans plus tard, à mes dix ans, j’avais enfin appris ce qu’était les descendants grâce aux chaînes d’information et à internet qui m’était enfin disponible ! C’était à priori un groupe d’être ayant des “super-pouvoirs” qui étaient haïs du grand public mais surtout qui étaient traqués. Je commençais à comprendre la peur de mes parents… j’avais ce truc en moi, ce truc qui me terrifiait et qui pourrissaient mes nuits. J’éprouvais une haine immense envers ces fameux descendants et j’étais même arriver à vouloir me suicider, à rendre ainsi service à tout le monde en le faisant et en débarrassant le monde d’une de ces abominations ! Comment a dix ans, on pouvait penser une telle chose ?

Mais c’est à ce moment qu’est arriver par voiture, le rayon de soleil qui changea ma vie. Un jour ou j’était la, assis sur les marches de mon pavillon à ruminer, une jeune fille du même âge que moi est descendue d’une voiture. Elle s’est avancée vers moi, elle m’a souris doucement et m’a tendue sa main à peine arrivée.

-Salut ! Je m’appelle Syla ! je serais ta nouvelle voisine !
-Je… ah oui… ? Enchanté… moi c’est Alrick…

Je lui serra doucement la main, un peu intimidé, mais elle au contraire avait un sourire incroyable qui ne faisait que agrandir et avec toute la sympathie du monde elle me dit :

-Pourquoi tu fait une gueule de dépressif ? C’est nul les gens qui se plaignent ! « Bouhouhou, maman je me suis fait maaaal ! » Qu’est-ce qu’il y a ? Un bobo et sa pleure ? Allez viens Alrick le dépressif on va jouer !

Dépressif…nul… non mais je rêve… elle se croyait ou celle la ? Malgré tout, je la suivais et j’esquissait pourtant un sourire. Je n’arrivais plus à sourire depuis longtemps et… cette fille aux cheveux rougeoyant elle, avais réussie.

Le temps avait passé, et je passais le mien avec cette Syla, on apprenait à se connaitre, on jouait ensemble, on dessinait ensemble, on se racontait nos histoires ensemble. Elle aussi c’était une descendante, on avait alors des points communs et on allait dans la même école ! Je me rappelle encore quand l’autre brute de Dylan voulait m’emmerder une fois de plus, la dernière fois ne lui ayant pas servi de leçon au contraire il me fustigeait encore plus en me traitant de monstre. Syla lui défonça la gueule et lui fit manger le parquet de l’école très rapidement.

C’est la que j’ai su. J’étais tombé amoureux de cette fille.
Le temps a passé, collège, lycée, on a tout fait ensemble, on est devenu a chaque fois de plus en plus proche, j’avais besoin d’elle et… elle aussi, elle avait besoin de moi. On est sorti ensemble vers nos 16 ans, mais ce n’était pas un faible et fragile amour, oh non, on était heureux et amoureux comme jamais. Elle était impulsive, colérique, parfois même mesquine mais moi, avec mon sang froid et ma force tranquille je parvenais toujours à la calmer, on étaient vraiment complémentaire. Un jour, on avait décider de changer d'air, pour nos études respectives nous sommes allés à Chicago, on s'était pris un appartement dans le quartier Loughdale et  à nos 20 années, on s’était donné rendez vous au grand parc de Mirage Lake, là-bas il y avait un arbre, un arbre sur lequel on avait gravé nos initiales. Quand on s’est retrouver, on s’est sauter dans les bras l’un de l’autre en riant, on avait commençait à s’allonger contre l’arbre et lentement je lui caressa l’épaule en lui prenant la main, elle me dit…

-Dit Al’…? Tu croit qu’un jour on sera enfin acceptés… ? Je veut dire… par les autres…
- Tu t’inquiète toi… ? La grande Syla ? Celle qui utilise son pouvoir a tout va et qui casse la tête de ceux qui l’emmerde ?

Je me mettais à rire doucement et elle me mit une tape sur la tête en gonflant les joues.

-Bah… je t’aime… et j’ai juste peur aussi qu’a un moment sa dégénère et…que je te perde…

Je me mit à lui sourire attendri et je lui pris les joues en la regardant dans les yeux…

-Syla… je t’aime a un degré plus important encore que mille soleil… et un jour Syla… je t’offrirai un monde… un monde ou tu n’auras plus a t’inquiéter du regard des autres… un monde ou tu seras libre… libre de faire tout ce qui te plait et d’utiliser ton pouvoir sans risquer ta vie ou la mienne… je te le promet mon amour… et… j’ai aussi une autre promesse à te faire aujourd’hui…

Je voyais dans ses yeux la tendresse, elle se mit à rougir à mes propos, ne sachant que dire face à ces mots. Et la je sorti un écrin, et je lui présentais une alliance fine incrusté de rubis, le rouge était sa couleur préférée…

-Syla Kana… veut-tu devenir la femme de ce dépressif d’Alrick Stark ?
- Oh bord… oui… ! Oui  ? bien sur que je le veux !

j’étais le plus heureux des hommes. Du temps a passé, l’effet de quelques mois pour tout préparer, nos amis étaient là même si nos familles eux…disons qu’on avait un peu perdu contact avec ces derniers.  Et arriva le jour de la cérémonie. Ma fiancée n’était pas dans une belle robe blanche oh non… elle était…dans une robe fine, moulant ses formes et d’un noir qui allait magnifiquement bien avec ses cheveux… ah rien que d’y repenser… je devais remettre son collier, et à ce moment on nous avais même pris en photo !

Spoiler:

Et le plus beau jour de ma vie… se transforma en mon pire cauchemar… je ne sais pas comment mais on avait été dénoncé… et c’est ce jour de réunion ou PURE, une organisation chassant les descendant avaient pénétré l’intérieur du manoir qu’on avait loué pour l’occasion. Ils n’ont même pas poser de questions, ils ont tiré, encore…encore et encore… ils ont balancer des explosifs… la fumée s’emparait de moi, je ne comprenais pas ce qui arrivait sur le coup mais… j’ai encore chaque instant et chaque détails de ce jour dans mon esprit…

Et la…je la voyais… ma Syla… je la pris dans mes bras et je voulais partir…mais je ne comprenais pas…son corps était lourd… et…je la voyais… le dos cribler de balle, elle serrait son médaillon dans ses mains…elle était inerte. Elle était…morte…dans mes bras…

A ce moment j’hurlais, de rage, de colère, je n’avais qu’une envie…la vengeance dans sa forme la plus PURE ! Et ma vengeance jaillis de mon corps, en l’espace de quelques instants je ne contrôlais plus rien, je n’avais qu’une envie, tuer…tuer…TUER ! Mon pouvoir les massacra ! Ma bête leurs inculqua la peur ! Elle les démembrait, les transperçaient ! Leurs cœurs faisaient le festin de mon monstre ! Mais quand tout pris fin…que le sang et l’odeur de mort enivrait la pièce, je tombais sur le sol… dans la bataille j’en ai perdu un œil mais… j’ai aussi perdu mon grand amour…

Aujourd’hui j’ai 25 ans… j’écris ces quelques lignes dans un bureau, beaucoup de personne m’attende et je serre fort le médaillon de ma femme contre moi, renfermant la photo prise de nous deux. Mais ce n’est pas mon dernier souvenir d’elle… Sous cet arbre je lui ai fait la promesse de lui offrir un monde ou elle pourrait vivre… A défaut… j’offrirais aux descendants, a notre peuple… ce fameux monde.
Des pas se faisait entendre, une voix m’interpellait.

-Monsieur… tout le monde attend votre discours.
-Bien… j’arrive.

Je refermais le médaillon que je rangeais dans ma poche, et je m’approchais d’une estrade au cœur d’un bâtiment en plein coeur de smallground, plusieurs personnes me regardait, il y avait de tout, des défavorisés, des membres de gang, des riches, des personnes normales, des vieux, des jeunes, tous des descendants.  Je m’approchais du micro mis à ma disposition et je pris la parole…

-Camarades descendants… Les humains nous chassent pour nous détruire, pour quelle raison ? Parce qu’ils  craignent nos talents. Parce que nous sommes différents. L’humanité a toujours été terrifiée par la différence, car ce que les Humains craignent, ils veulent le détruire ! Nous sommes là pour le leurs dire, à eux et au monde, leurs terreur est justifiée ! L’avenir c’est nous. C’est nous qui hériterons du royaume terrestre et quiconque aura l’audace de s’interposer, subira la mort ! Les humains pensent éternellement faire étalage de leurs puissance. Au lieu de cela nous  donnerons une petite idée de la dévastation que notre race peut infliger à celle des Hommes ! Nous le devons pour tous les notres qui ont été massacrés injustement par les humains ! Que ce soit notre avertissement au monde ! Et pour vous mes frères et sœurs descendants, à vous je dis ceci : ne vous cachez plus ! Ne souffrez plus en silence. Vous avez vécu trop longtemps dans la honte et la peur, vécu trop longtemps dans l’ombre, révélez-vous, rejoignez-moi, rejoignez-nous ! Luttons ensemble, c’est un nouveau futur qui est né aujourd’hui ! Nous sommes la Confrérie ! Et ensemble nous batirons un monde ou tous les descendants n’auront plus à se cacher du joug de l’être Humain !

Je donnait ce discours avec poigne, avec intention, avec espoir. Ce n’était pas des paroles en l’air, c’était une promesse que je comptais tenir et remplir… Je m’appelle Alrick Stark, ceci… est notre Histoire.